9 janvier 2011
stop et encore
comme je ne contrôlais plus tes désirs impossibles
je ne me sentis plus figé par ta froideur
et ton cul rougi que j'avais pris pour cible
je l'aurai cloué nu à mon poteau de couleur
J'étais insoucieux de tout ton équipage
porteurs de clous cinglants ou de cuirs épais
tandis que ces voleurs ont subi ton corps sage
tu m'as laissé descendre où je voulais
Dans le clapotement fiévreux des harnais
moi dans l'enfer plus sourd que ces adolescents
je baisais ! et tes monticules désarmés
n'ont pas subi tohubohu plus triomphants
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